Tahiti
Ça y est nous sommes arrivés à Tahiti en avion ce samedi 17 décembre. Après 3h à survoler principalement de l’eau et quelques gigantesques atolls des Tuamotu, nous avons atterri sur la bande de béton qui borde l’énorme lagon de Faaa.
Encore assise dans l’avion, je suis surprise de voir qu’il y a encore des maisons habitées juste à côté de la piste où seul un petit grillage dissuade, je l’espère, l’enfant aventureux de traverser la piste pour aller se baigner de l’autre côté.
Qui n’a jamais rêvé d’aller un jour en Polynésie ? Esthètes, artistes ou hommes de plume l’ont célébrée, de Gauguin à Matisse, de Stevenson à Moitessier, de Marlon Brando à Jacques Brel, sans oublier Jack London et Victor Segalen, Herman Melville et Alain Gerbault.
Fabricants de rêves ou déboulonneurs de mythes, voyageurs au long cours, marins chevronnés ou découvreurs d’un jour… Tous ont été conquis et nous aussi par les bleus des lagons, le vert des montagnes, les parfums de vanille et de fleurs de tiare, comme emportés par ce désir ultramarin qui avait allumé leurs nuits.
Nous sommes à Tahiti!!!
En Suisse, il m’arrivait d’acheter du Tahiti douche et de m’imaginer à me laver sous la cascade comme la fille dans la pub. C’était tellement inimaginable!
Et puis nous y voilà, quelques années plus tard. Pas sous la cascade, pas tout de suite, mais bien à la marina Taina située au sud du centre de Papeete.
Bon on pensait y venir avec notre bateau et pas en avion c’est sûr. Mais voilà qu’il y a un risque de cyclones dans le coin qui commence en décembre jusqu’en avril. Même si l’effet La Niña nous protège d’une certaine tempête cyclonique cette année nous ne voulions pas risquer de se retrouver à Tahiti à gérer deux bateaux!
Donc on a laissé Morgane au sec à Hiva Oa aux Marquises. Nous la retrouverons dans un mois après notre gardiennage terminé.
Car on est pas là à Tahiti pour se tourner les pouces ou se la jouer Amanda et Robin visitent l’île en mode touristes non non nous sommes à Tahiti pour travailler!! Plus précisément pour nous occuper à nouveau du catamaran le Lagoon 77 jusqu’au retour de l’équipage mi janvier. Ce qui est une sacrée chance pour nous!!
Robin a repris son rôle de Capitaine et bricoleur et moi celui de l’attendante, j’ai enfilé mes gants de nettoyages pour astiquer de fond en comble le cata et retrouver ma cuisine préférée pour cuisiner de bon petits plats.
Nous sommes amarré au bout d’un ponton pavé avec la vue sur l’île de Moorea et le soleil couchant. Tant qu’il n’y a pas de tempête annoncée, je pense qu’on va être pas mal ici!!
Encore assise dans l’avion, je suis surprise de voir qu’il y a encore des maisons habitées juste à côté de la piste où seul un petit grillage dissuade, je l’espère, l’enfant aventureux de traverser la piste pour aller se baigner de l’autre côté.
Qui n’a jamais rêvé d’aller un jour en Polynésie ? Esthètes, artistes ou hommes de plume l’ont célébrée, de Gauguin à Matisse, de Stevenson à Moitessier, de Marlon Brando à Jacques Brel, sans oublier Jack London et Victor Segalen, Herman Melville et Alain Gerbault.
Fabricants de rêves ou déboulonneurs de mythes, voyageurs au long cours, marins chevronnés ou découvreurs d’un jour… Tous ont été conquis et nous aussi par les bleus des lagons, le vert des montagnes, les parfums de vanille et de fleurs de tiare, comme emportés par ce désir ultramarin qui avait allumé leurs nuits.
Nous sommes à Tahiti!!!
En Suisse, il m’arrivait d’acheter du Tahiti douche et de m’imaginer à me laver sous la cascade comme la fille dans la pub. C’était tellement inimaginable!
Et puis nous y voilà, quelques années plus tard. Pas sous la cascade, pas tout de suite, mais bien à la marina Taina située au sud du centre de Papeete.
Bon on pensait y venir avec notre bateau et pas en avion c’est sûr. Mais voilà qu’il y a un risque de cyclones dans le coin qui commence en décembre jusqu’en avril. Même si l’effet La Niña nous protège d’une certaine tempête cyclonique cette année nous ne voulions pas risquer de se retrouver à Tahiti à gérer deux bateaux!
Donc on a laissé Morgane au sec à Hiva Oa aux Marquises. Nous la retrouverons dans un mois après notre gardiennage terminé.
Car on est pas là à Tahiti pour se tourner les pouces ou se la jouer Amanda et Robin visitent l’île en mode touristes non non nous sommes à Tahiti pour travailler!! Plus précisément pour nous occuper à nouveau du catamaran le Lagoon 77 jusqu’au retour de l’équipage mi janvier. Ce qui est une sacrée chance pour nous!!
Robin a repris son rôle de Capitaine et bricoleur et moi celui de l’attendante, j’ai enfilé mes gants de nettoyages pour astiquer de fond en comble le cata et retrouver ma cuisine préférée pour cuisiner de bon petits plats.
Nous sommes amarré au bout d’un ponton pavé avec la vue sur l’île de Moorea et le soleil couchant. Tant qu’il n’y a pas de tempête annoncée, je pense qu’on va être pas mal ici!!